Je veux que tout soit tel Amour, que soit une autre forme Glamour

Je veux une Vie personnelle bien remplie, familliale pleines de mamours

Je veux que dure et de fer soit la Santé afin que la Vie puisse résister

Je veux qu'une montagne de Reconnaissance soit, aussi dure la Roche pour exister

Je veux que les Ecrits s'envolent pour voler tous les Maux

Je veux connaître plus de Monde pour que le monde connaisse mes Mots

Je veux Apprendre tant d'autres choses, afin d'être plus qu'une Prose

Je veux que croisse l'Humanité, où cette inhumanité devienne une Rose

Je veux bien moins d'Impératifs, que le Glaive soit moins actif

Je veux que telle Tranquillité qui nous inspire, tel un Jet pour être plus créatif

Je veux que le Calme demeure une entité, dire : à voir, été pour entrer

Je veux que la Paix soit le flambeau, la Lumineuse raison pour nous de rêver

Je veux que soient tous ces Sourires, pleins, francs, chacun son Prisme

Je veux plus de Temps, construire, mettre né, sans jamais aucun Atavisme

Je veux que soient des idées Folles comme ces Gamins qui rigolent

Je veux que toute idée Créatrice soit un Puit qui nous envole

Je veux qu'il y ait plus d'Envie, tant et plus que Germe cette vie

Je veux qu'il n'y ait Aucun prix, et pouvoir Sûr compter plus d'un ami

Je veux que mes dix Mains soient celles du monde porteuses de Lendemains

Je veux que tous ces vingt Vœux soient plus que Simples souhaits Vains !

c parsesque tu es mon amie et tuva restla tjr pour moi je vs adoores mes amies grand bis par imad!!

dans l’âme (poème de vie)

Je crois bien que j'ai attrapé un coup de soleil

J’ai mal à la tête, j’ai mal aux oreilles

j’ai mal à mon petit corps de femme naissant

frémissant sous les pâles pétales de fleurs

de ma robe rouge coquin

d’insoupçonnées langueurs parcourent mes mains

Pourquoi cette sensation diffuse

Pourquoi ce trouble en mon âme confuse

J’ai replié les pétales de ma robe coquelicot

J’ai refermé chaque cellule de mon corps trop chaud

Recroquevillée tout au fond de mon cœur

Cette peur

Mon âme d’enfant encore murmure

Reprendre la route me semble trop dur

L’inhibition a pris possession de moi

Etreinte invisible d’une chaîne

S’enroulant sournoisement à me faire perdre haleine

Entraves d’une respiration pleine

Etouffant les dernières étincelles vaines

Te voilà prisonnière effrénée

D’un poids démesuré

qui fige ta fragilité

écrase ta personnalité

Alors mon pied s’est cassé

Et le boulet a repris sa liberté

Seulement maintenant

Demain, dès l'aube...par moi!!

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur